From 734606304d264160919d53848cdb2ac88edae38f Mon Sep 17 00:00:00 2001 From: Admin Date: Fri, 24 Apr 2020 16:55:26 +0200 Subject: [PATCH] Pour la feature contrepeterie --- kabot/kabot/ressources/contrepeteries.txt | 100 ++++++++++++++++++++++ 1 file changed, 100 insertions(+) create mode 100644 kabot/kabot/ressources/contrepeteries.txt diff --git a/kabot/kabot/ressources/contrepeteries.txt b/kabot/kabot/ressources/contrepeteries.txt new file mode 100644 index 0000000..4bba4c2 --- /dev/null +++ b/kabot/kabot/ressources/contrepeteries.txt @@ -0,0 +1,100 @@ +Il faudrait une bonne purge à cette vaisselle!;Il faudrait une bonne verge à cette pucelle! +Ma belle-mère admire les rossignols du caroubier. ;Ma belle-mère admire les roubignolles du carossier. +Votre père a l'air mutin. ;Votre mère a l'air putain. +L'Empereur est arrivé à pied par la Chine.;L'Empereur est arrivé à chier par la pinne. +Est-ce un feu de poutre? ;Est-ce un peu de foutre? +Mammouth écrase les prix. ;Mammie écrase les prouts. +C'est ici qu'on pendit le fuselage de l'aviatrice.;C'est ici qu'on fendit le pucelage de l'aviatrice. +Les étudiantes admiraient le factum du recteur. ;Les étudiantes admiraient le rectum du facteur. +Les laborieuses populations du Cap.;Les laborieuses copulations du Pape. +La cuvette est pleine de bouillon. ;La buvette est pleine de couillons. +Le scorpion est malade. ;Le morpion escalade. +Quel beau métier: professeur! ;Quel beau fessier: prometteur! +Elle est folle de la messe.;Elle est molle de la fesse. +Dès qu'on touche à son petit banc, cet enfant boude. ;Des qu'on touche à son petit bout, cet enfant bande. +A la vue des Nippons, la Chine se soulève.;A la vue des nichons, la pine se soulève. +Glisser dans la piscine. ;Pisser dans la glicine. +Taisez-vous en bas! ;Baisez-vous en tas! +Ma soeur taille des jupes au Pirée.;Ma soeur taille des pipes aux jurés. +Pour bien dîner, il faut être peu. ;Pour bien pinner, il faut être deux. +Auberge de Vendée.;Aux verges de bander. +Chère collaboratrice, je vous laisse le choix dans la date.;Chère collaboratrice, je vous laisse le doigt dans la chatte. +Parachute.;Char à putes. +Couper les nouilles au sécateur.;Couper les couilles au sénateur. +Empiler les culottes.;Enculer les pilotes. +L'assistante brouille l'écoute de l'ingénieur qui a une panne de micro. ;L'assistante broute les couilles de l'ingénieur qui a une pine de maquereau. +Un mine de chapeau.;Une pine de chameau. +Arriver à Béziers la veille. ;Arriver à baiser la vieille. +J'ai des rebords à mes épaulettes. ;J'ai des remords à baiser Paulette. +Allons, chérie, essuie ça vite et bien.;Allons, chérie, essuie sa bite et vient. +Ces colonnes de gauchistes se branchent devant l'Irak. ;Ces cochonnes de Gaullistes se branlent devant Chirac. +La princesse aime la dotation du roi. ;La princesse aime la rotation du doigt. +La femme du capitaine à fait mander le marin à bord.;La femme du capitaine à fait bander le marin à mort. +À l'Éducation Nationale, on aime bien l'équipe en place. ;A l'Education Nationale, on aime bien les pipes en classe. +Escalope sur une salade.;Escalade sur une salope. +Le gros entrepreneur pétrit le béton à la tonne. ;Le gros entrepreneur pétrit le têton à la bonne. +La jeune paysanne rêve devant un beau vendeur. ;La jeune paysanne rêve devant un veau bandeur. +L'archéologue met dans des caisses le produit de ses fouilles. ;L'archéologue met dans des fesses le produit de ses couilles. +Cette femme habite les gîtes.;Cette femme agite les bites. +Le préfet de Nîmes voudrait plus d'écus pour son Gard. ;Le préfet de Nîmes voudrait plus d'égard pour son cul. +Souhaitez-vous, Monsieur, des nouilles encore?;Souhaitez-vous, Monsieur, des couilles en or? +Aucun homme n'est jamais assez fort pour ce calcul.;Aucun homme n'éjacule assez fort pour se calmer. +J'aime vachement votre frangin.;J'aime franchement votre vagin. +Je te verrais bien en curé, avec une calotte. ;Je te verrais bien enculé avec une carotte. +La philantropie de l'ouvrier charpentier.;La tripe en folie de l'ouvrier partant chier. +Deux carrioles sans mulet.;Deux marrioles s'enculaient. +La jeune fille revient de la ferme pleine d'espoir jusqu'au pont du Jura.;La jeune fille revient de la foire pleine de sperme jusqu'au ras du jupon. +Alors que les athées se battent, les abbés se taisent.;Alors que les abbés se tâtent, les athés se baisent. +Cette jolie fille habite Laval. ;Cette jolie fille avale la bite. +L'Afrique est bonne hôtesse quand la canicule nous emballe. ;La trique est bonne aux fesses quand le cannibale nous encule. +Ces soupers manquent de pains. ;Ces poupées manquent de seins. +Elle fait de délicieuses tripes aux papillotes. ;Elle fait de délicieuses pipes aux patriotes. +Madame, il faut secouer les mites de vos habits. ;Madame, il faut secouer les bites de vos amis. +Elle avait un chapelet de citrouilles autour du cou. ;Elle avait un chapelet de six couilles autour du trou. +Il courait tant de buts divers qu'il en perdait sa belle mine.;Il bourrait tant de culs divers qu'il emmerdait sa belle pine. +Devenu riche à force de peiner, l'ouvrier roule sur les pépettes.;SDevenu rêche à force de piner, l'ouvrier pèle sur les roupettes. +Un curé précis refuse toujours le tennis. ;Un cul rétrécis refuse toujours le pénis. +J'ai du tracas jusqu'au cou! ;J'ai du caca jusqu'au trou! +On ne peut pas dîner, si on est pas assez pur.;On ne peut pas piner, si on est pas assez dur. +Affaissant subitement son broc, le garçon laitier mouilla les fiches de la dactylo et chuta dans la jatte.;Abaissant subitement son froc, le garçon laitier fouilla les miches de la dactylo et juta dans la chatte. +Les nonnes aimeraient faire des chatouilles sur leur pape. ;Les nonnes aimeraient faire des papouilles sur leur chatte. +Cette jeune femme a l'art de décaler les sons. ;Cette jeune femme a l'art dessaler les cons. +La botaniste admire ce plan qui vient de la Guinée. ;La botaniste admire ce gland qui vient de la piner. +L'étudiante en archéologie rêve de tomber sur des fouilles curieuses. ;L'étudiante en archéologie rêve de tomber sur des couilles furieuses. +Un hachis parmentier. ;Un amant parti chier. +Elle est assise sur la berge du ravin.;Elle est assise sur la verge du rabbin. +Quel bonheur pour la princesse que la dotation du roi.;Quel bonheur pour la princesse que la rotation du doigt. +Les mutins passaient le berge du grand ravin.;Les putains massaient la verge du grand rabbin. +Saisons belles qui passent!;Baisons celles qui passent ! +Le capitaine redoute les proues qui tuent. ;Le capitaine redoute les trous qui puent. +La pratique intensive du tennis en pension donne aux jeunes une mine piteuse.;La pratique intensive du pénis en tension donne aux jeunes une pine miteuse. +Il court, il court, le furet.;Il court, il fourre, le curé. +C'était une fine appellation.;C'était une pine à fellation. +C'est dimanche: un coup de vin.;Un coup de manche: c'est divin. +Un petit calcul et on s'en va.;Un petit calva et on s'encule. +Le chercheur est fatigué après une belle thèse. ;Le chercheur est fatigué après une telle baise. +Les corbeaux aiment le sang qui coule à la curée d'un cerf.;Les corsaires aiment le sang qui coule à la raie d'un beau cul. +A l'évêché on peut voir un vieux plan de Gap.;A l'évêché on peut voir un vieux gland de pape +Elle est folle de la messe. ;Elle est molle de la fesse. +Salut Patrick!;Ca pue la trique! +Les luxations répétées provoquent la fêlure.;Les fellations répétées provoquent la luxure. +A force de mouiller les fiches, je suis arrivé au fond de la colle.;A force de fouiller les miches, je suis arrivé au con de la folle. +A la boutique des Milles Bottes, on solde des tennis de pro.;A la boutique des belles mottes, on solde des pénis de trop. +A l'armée, le lieutenant veut défiler et le général m'engueule!;A l'armée, le lieutenant veut dégueuler et le général m'enfile! +A l'auberge des Deux Reines, le cuisinier entame une vache marginale.;A l'auberge des Nœuds Raides, le cuisinier entame une marche vaginale. +A l'auberge du Congre Debout, j'ai humé des Côtes en fût et j'ai senti des rillettes du cru.;A l'auberge du Bougre de Con, j'ai humé des crottes de cul et j'ai senti des filles en rut. +A l'auberge du Congre Debout, j'ai mangé de la tourte aux cailles et je me suis délectée d'une vieille fine sans dépôt.;A l'auberge du Bougre de Con, j'ai mangé de la tarte aux couilles et je me suis délectée d'une vieille pine sans défaut. +Faites donc voir votre glu à l'ancienne: cette vielle colle s'enflamme au contact des feux.;Faites donc voir votre gland à Lucienne: cette vielle folle s'enflamme au contact des queues. +A l'hôtel du Bon Coucher, j'ai goûté un vieux marc très doux et j'ai apprécié la poire à la fine.;A l'hôtel du Con Bouché, j'ai goûté un vieux dard très mou et j'ai apprécié la foire à la pine. +A l'idée de voir la Chine, la jeune fille est envahie d'une étrange pâleur.;A l'idée de voir la pine, la jeune fille est envahie d'une étrange chaleur. +A quoi bon me pousser pour que je vous trompe?;A quoi bon me trousser pour que je vous pompe? +A vouloir aller plus vite que le son, vous risquez de vous briser la nuque!;A vouloir aller plus vite que le con, vous risquez de vous briser l'anus! +A Wimbledon, le juge de touche s'est fait acculer derrière Sanchez.;A Wimbledon, le juge de touche s'est fait enculer derrière sa chaise. +Madame, admirez donc l'écaille de ces moules!;Madame, admirez donc les couilles de ces mâles! +Adjudant, faites bisser l'appel!;Adjudant, faites pisser la belle! +Ah Madame! Si vous saviez ce que votre plante me fait!;Ah Madame! si vous saviez ce que votre fente me plaît! +Ah! Ma sœur! Vous avez bêché trois allées?! ;Ah! Ma sœur! Vous avez léché trois abbés?! +Aimer le blanc, c'est une histoire de goût.;Aimer le gland, c'est une histoire de bout. +Les religieuses se lèvent au couchant et se passent facilement de pain jusqu'aux matines.;Les religieuses se lèchent au couvent et se passent facilement de pine jusqu'au matin. +Après de pareils faits, vous pouvez vous permettre.;Après de pareils pets, vous pouvez vous faire mettre. +Apprendre à calculer en cent leçons.;Apprendre à s'enculer en caleçon.